Lors d’une émission sur une TV électronique privée, le secrétaire général de la Fédération algérienne de football Nadir Bouzenad a botté en touche lorsqu’il a été interrogé sur le cas de l’ex-sélectionneur national Djamel Belmadi.
Ce qu’avait publié Shoot Africa en son temps s’est avéré encore une fois vrai concernant la désormais affaire de l’ancien sélectionneur national de l’équipe d’Algérie, Djamel Belmadi.
Subissant une résiliation unilatérale de son contrat par la Fédération algérienne de football au lendemain de l’élimination des Verts lors de la dernière CAN 2023 en Côte d’Ivoire, Belmadi a observé le silence jusqu’à ce jour.
Cela n’empêcha pas ses détracteurs de mener une énième campagne de dénigrement, l’accusant cette fois d’avoir entrepris des démarches auprès de la FIFA pour recouvrer ses droits, vu que son contrat de travail avec la FAF court jusqu’à 2026.
Tout le tapage médiatique qui a suivi le départ de Belmadi s’est révélé un tissu de mensonges, entretenus par ceux-là mêmes qui ont précipité son départ, puisque l’ex-coach des Verts n’a rien entrepris à ce jour.
Mieux encore, il a préféré laisser les choses se tasser et permettre à la sélection nationale de reprendre son chemin avec un nouveau staff technique tout en observant toujours un silence assourdissant, suscitant moult spéculations.
Dans son approche, Belmadi a entrepris des démarches auprès des pouvoirs publics pour une trouver une solution à l’amiable à son cas, afin d’éviter à ce que son affaire soit une fois de plus utilisée à d’autres desseins.
A bientôt une année de son départ, l’affaire Belmadi n’a toujours pas connu un dénouement.
Invité sur le plateau d’une TV électronique privée, le secrétaire général Nadir Bouzenad a été interrogé sur le cas Belmadi, mais au lieu d’éclairer l’opinion, il a préféré botter en touche arguant que l’ex-coach est en période de deuil suite au décès de son père et que ce n’était pas le moment d’en parler !
Malgré l’insistance du journaliste, le secrétaire général de la FAF a tout fait pour éviter d’en parler, certainement instruit de ne pas souffler un mot sur cette affaire qui pend toujours au nez de la fédération.