Basket Ball : Kevin Durant veut acheter une franchise… à Seattle

À Seattle dans l’idéal, Kevin Durant répète qu’il souhaite garder un pied dans le basket à sa retraite.

Alors qu’il fêtera en fin d’année son 36e anniversaire, Kevin Durant sait pertinemment qu’il lui faut préparer sérieusement son après-carrière. Et si tout devrait bien se passer pour lui dès qu’il aura pris sa retraite, il est évident qu’il ne compte pas rester les bras croisés à se la couler douce loin des parquets.

Comme indiqué à plusieurs reprises par le passé, notamment en 2017 puis 2018, « KD » s’imagine bien posséder des parts d’une franchise NBA et il n’a pas non plus abandonné l’idée de faire « renaître » une ville qui lui tient à coeur…

« Dans un monde idéal, oui, ce serait cool », répond-il franchement. « Quelle que soit l’opportunité qui se présentera, j’espère pouvoir faire partie de quelque chose de spécial. Mais Seattle serait assurément l’endroit idéal. La ville et ses habitants méritent une nouvelle équipe et j’aimerais toujours faire partie de la NBA de cette manière. »

Puis Kevin Durant, joueur des Supersonics en 2007/08 avant le déménagement/création du Thunder, de détailler les bienfaits d’une expansion.

« Tout le monde aime le basket et ce que les franchises apportent à une ville », juge-t-il, même s’il doute que les propriétaires en place acceptent de se partager les revenus de la ligue avec quatre ou cinq autres camarades. « J’ai vu ce qu’a pu provoquer une expansion de franchise à Oklahoma City et, quand je vois l’évolution entre 2008 et aujourd’hui, je n’aurais jamais imaginé ça possible. Gratte-ciel, complexes hôteliers, tramways… Je pense que tout ça est dû à l’arrivée d’une franchise en ville et j’imagine que beaucoup de maires appellent Adam Silver pour obtenir une franchise dans leur ville. »

Il n’empêche que, malgré ses ambitions et connaissances en matière d’investissement, Kevin Durant n’a pas (plus) du tout envie d’entendre parler en permanence de quelconque d’obligation extra-sportive, tant que sa carrière de joueur sera en cours.

« Beaucoup de ces choses me prenaient du temps », décrit-il, en évoquant ce à quoi il a pu être confronté sur le plan du business. « Mon été était rempli d’obligations commerciales et, un jour, j’ai simplement demandé à mon associé [Rich Kleiman] si j’avais à faire tout ça. Il m’a dit que non, c’était aussi simple que ça. J’aime avoir le temps de réfléchir à ce à quoi je veux penser, c’est-à-dire le basket, et j’avais la sensation que toutes ces choses me détournaient de ce qu’était ma vraie passion, à savoir le jeu. »

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