De tristes sorts sont réservés à beaucoup de jeunes joueurs binationaux Algériens, qui ont choisi de porter les couleurs de leur pays d’origine. Ces footballeurs nés en France et possédant la double nationalité optent malgré toutes les pressions exercées sur eux par leurs clubs pour le pays de leurs parents, souvent, ces jeunes seront confrontés à un boycott totale une fois leurs formations fini.
Cette année, on recense des dizaines de Cas de joueurs pétris de qualités, qui n’ont pas signer professionnelle et se retrouvent sur le carreau avec souvent des abandons de carrière. Ils se retrouvent livrés a eux mêmes, ils écument les essais et les détections dans l’espoir de trouver un club.
Aucune aide n’est apportée à ces gamins tout juste sortis de l’adolescence. Ceux qui ont des parents avec un réseau arrivent tant bien que mal à se recycler dans le football amateur en espérant rebondir dans l’avenir, d’autres sans soutien familial s’évaporent dans la nature
Que fait la Fédération Algérienne de football ? C’est l’exemple du jeune Mhenni Fares, international U18 qui a afit toute sa formation à l’AS Nancy Lorraine et qui se retrouve sans club alors qu’il a un potentiel énorme. Heureusement qu’il peut compter sur le soutien de sa famille. Un jeune qui peut faire le bonheur de tous les clubs Algériens de Ligue Une, qui pourrait lui servir de tremplin pour revenir en Europe et embrasser une carrière professionnelle. c’est là que devrait intervenir le véritable rôle d’une fédération pour apporter un soutien psychologique et matériel. Du temps de Mohamed Raouraoua, il a essayé de le faire avec les internationaux sans club, qu’ils recyclaient dans le championnat Algérien, on s’en souvient du cas Abdelmalek Charad et son arrivée au Mouloudia d’Alger.
Aujourd’hui, la FAF devrait se pencher sur ce sujet, des décisions politiques fortes devraient être prises pour protéger ces jeunes talents, exemple, mettre en place une loi qui obligerait tous les clubs professionnelles Algériens à intégrer deux jeunes internationaux issus de l’émigration dans leurs effectifs.
Mettre le réseau de la fédération Algérienne de football à la disposition de ces jeunots et leurs familles afin de leur trouver un point de chute. Une fédération est la garante des droits de ces joueurs. Aller les chercher à coups de pubs et de tintamarre, c’est bien, les protéger est un devoir. A bon entendeur …….

