Coupe de France : Farid Beziouen, l’atout précieux du FC 93

À 38 ans, Farid Beziouen continue d’écrire sa propre histoire sur les terrains. Moins prolifique devant les buts et pas toujours titulaire, le milieu offensif né à Aubervilliers reste un atout précieux pour son équipe grâce à son expérience et à un talent intact. « Je suis en forme, je peux rendre encore quelques services », affirme-t-il, le sourire aux lèvres, preuve de sa passion toujours vive pour le football.

Farid Beziouen sous le maillot de la JSK

Une motivation intacte

Passé par plusieurs clubs emblématiques comme Noisy-le-Sec, le Red Star, la JS Kabylie en D1 algérienne, ou encore Sedan et Orléans en Ligue 2, Farid Beziouen n’est pas prêt à raccrocher les crampons. « Tant que mon corps tient, je ne me fixe aucune limite. On voit de plus en plus de joueurs jouer jusqu’à 40 ans, voire au-delà. Je commencerai à m’interroger le jour où j’enchaînerai les blessures. Mais pour le moment, je suis au top physiquement », assure-t-il avec la sérénité d’un joueur qui connaît parfaitement ses capacités.

Alors que son équipe reste mathématiquement en course pour une éventuelle montée en National, Farid Beziouen garde les pieds sur terre : « Ce serait beau, mais je n’y pense pas. Notre championnat est difficile et sera incertain jusqu’à la dernière journée. On ne gagnera pas tous les week-ends, c’est impossible. Plus de la moitié des équipes peuvent prétendre à la montée, donc je me contente de prendre un maximum de plaisir. »

Cette philosophie résume parfaitement l’état d’esprit de Beziouen : prendre les matchs comme ils viennent, avec passion et détermination, tout en savourant chaque instant passé sur la pelouse. Une attitude qui inspire ses coéquipiers et rappelle que l’amour du jeu ne vieillit pas.

Une motivation intacte

Alors que son équipe reste mathématiquement en course pour une éventuelle montée en National, Farid Beziouen garde les pieds sur terre : « Ce serait beau, mais je n’y pense pas. Notre championnat est difficile et sera incertain jusqu’à la dernière journée. On ne gagnera pas tous les week-ends, c’est impossible. Plus de la moitié des équipes peuvent prétendre à la montée, donc je me contente de prendre un maximum de plaisir. »

Cette philosophie résume parfaitement l’état d’esprit de Beziouen : prendre les matchs comme ils viennent, avec passion et détermination, tout en savourant chaque instant passé sur la pelouse. Une attitude qui inspire ses coéquipiers et rappelle que l’amour du jeu ne vieillit pas.

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