Par la rédaction de ShootAfrica
Djamel Belmadi, artisan du sacre africain de l’Algérie en 2019 et architecte de la légendaire série de 35 matchs sans défaite, est aujourd’hui la cible d’une campagne aussi injuste que malveillante. Une partie de la presse, appuyée par des influenceurs en quête de buzz et des intérêts occultes, s’acharne contre celui qui, par son travail, sa rigueur et son amour inconditionnel du pays, a redoré le blason du football algérien.

La raison ? Le souhait du club qatari d’Al Duhail, désormais dirigé par Belmadi, de recruter Adil Boulbina, l’actuel meilleur buteur du championnat algérien avec 20 réalisations. Une démarche que certains tentent de faire passer pour une « manœuvre d’influence » de l’ancien sélectionneur national. Des accusations grotesques, dénuées de tout fondement, et révélatrices d’un profond malaise dans la manière dont certains médias traitent la réussite des compétences algériennes.
Recruter les meilleurs : une logique universelle
Dans le football moderne, les clubs ambitieux visent naturellement les profils les plus performants. Il est donc parfaitement logique qu’Al Duhail, club phare du Golfe, s’intéresse à un talent aussi éclatant qu’Adil Boulbina. Djamel Belmadi, fin connaisseur du football local et international, sait mieux que quiconque reconnaître les qualités d’un joueur capable de faire la différence. Qu’il s’intéresse à Boulbina relève de la stratégie sportive, non d’un complot comme certains veulent le faire croire.
Il n’y a ni ingérence, ni favoritisme. Il y a une vision footballistique claire, celle d’un entraîneur exigeant qui vise l’excellence. Ce que ferait n’importe quel technicien en quête de résultats.
Un acharnement orchestré
Ce qui interpelle, c’est la violence verbale et la mauvaise foi de certains contenus relayés sur YouTube ou dans certains médias affiliés à des sphères hostiles à la réussite nationale. Depuis le départ de Belmadi de la tête des Verts, une frange très précise de l’espace médiatique s’applique à démonter son héritage, allant jusqu’à remettre en cause son patriotisme et ses choix personnels.
Ces attaques ne sont pas anodines. Elles sont le fruit d’une stratégie de dénigrement menée par ceux qui voient en la compétence algérienne une menace pour leurs agendas. Belmadi dérange, car il incarne un modèle : celui d’un technicien intègre, exigeant, attaché à son pays et respecté dans tout le monde arabe et en Afrique.
Un homme de principes, respecté du peuple
Avant d’être sélectionneur, Belmadi fut international, capitaine, combattant sur le terrain, celui qui a toujours mouillé le maillot sans jamais tricher. En tant qu’entraîneur, il a fait vibrer tout un peuple, redonné espoir et fierté à des millions d’Algériens qui, en Égypte en 2019, ont vu leur équipe dominer l’Afrique avec courage, discipline et panache.
Son départ des Verts a laissé un vide. Mais l’homme n’a jamais cessé de porter l’Algérie dans son cœur. Aujourd’hui encore, loin des projecteurs de la sélection, il continue de faire rayonner la compétence algérienne à l’étranger, fidèle à ses valeurs, insensible aux attaques, concentré sur le travail et les résultats.
Le peuple ne se trompe pas
La tentative de salir son image est vouée à l’échec. Car le peuple algérien n’oublie pas. Il sait reconnaître les siens. Il respecte ceux qui travaillent, qui donnent sans tricher, ceux qui mettent l’intérêt de l’Algérie au-dessus de toute autre considération. Belmadi en fait partie, et aucun édito venimeux ni aucune vidéo manipulatrice ne pourra éteindre la lumière qu’il a allumé dans le cœur des Algériens.
Djamel Belmadi dérange ceux que la compétence effraie. Et cela, en soi, est une preuve de sa valeur.

