Algérie : La JS Kabylie ou le Bal des opportunistes

L’un des plus grands clubs d’Afrique vit des moments cruciaux de son existence. L’emblème de la Kabylie est dans une posture qui le place parmi les relégables, avec 13 points en 16 rencontres jouées, jamais de son histoire, les Canaris n’ont fait aussi mauvais. Ils pointent à l’avant-dernière place du classement, certes rien n’est joué, mais les choses sont compliquées.

La direction actuelle, arrivée à la tête du club suite à un coup d’État contre l’ancien président Cherif Melal, actuellement emprisonné pour des raisons que nous ignorons, font du surplace, des opportunistes qui n’ont rien à voir avec la gestion d’un club sportif se sont retrouvés à gérer le plus titré des clubs algériens (27 au total). Une situation catastrophique qui risque d’envoyer les Lions du Djurdjura en seconde division pour la 1ʳᵉ de son histoire après son accession en 1969. La totalité des actions ont été vendues au géant de la Téléphonie locale, Mobilis et depuis, c’est le bal des opportunistes de qui aura les faveurs du nouveau propriétaire pour être intronisé à la direction de ce géant d’Afrique. Des anciens joueurs sans aucun niveau, d’anciens dirigeants véreux de clubs, des opportunistes de tout bord s’activent dans les coulisses pour avoir leur part du gâteau. Les inconditionnels et fervents supporters du club Kabyle ne savent plus où donner de la tête, tellement la situation leur échappe. Chacun y va de son analyse, mais l’ensemble est d’accord pour demander le départ de ces Charlatans de la gestion. De grâce, partez tant qu’il est temps. Les pouvoirs publics devraient intervenir rapidement pour mettre fin à cette tragédie qui a assez duré. La JSK a toujours été l’une des locomotives du football algérien, le JUMBO JET dans les années 80 avec Khalef et Ziwotko à sa tête faisait trembler l’Afrique, aujourd’hui, On en a fait une marionnette entre les mains d’incompétents. Mobilis ne doit pas tomber dans le piège de ces imposteurs de la fonction de gestionnaires dont ils ne connaissent que le profit. À suivre

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