Invité de BFM Lyon ce mercredi 14 février, l’ex-président de l’OL a reconnu avoir « pesé » pour que le Groupama Stadium accueille la demi-finale de Ligue des nations. Une rencontre avec en ligne de mire un premier titre continental pour les Bleues.
Jean-Michel Aulas a troqué son costume de président de l’Olympique lyonnais pour celui de vice-président de la Fédération française de football. Mais il n’en reste pas moins un personnage influent à Lyon.
Le pionnier du football féminin en France le reconnaît lui-même, il a « beaucoup pesé » pour que le Groupama Stadium accueille le match France-Allemagne, en demi-finale de Ligue des nations, le vendredi 23 février.
« C’est une immense fierté », savoure-t-il au micro de BFM Lyon, dont il était l’invité ce mercredi 14 février. Il tient par ailleurs à remercier Grégory Doucet, le maire de Lyon, qui « a souhaité vraiment s’impliquer » dans ce projet.
Un double objectif
Pour cette rencontre, l’ex-patron de l’OL se fixe deux objectifs. « Le premier, chronologiquement, c’est de faire que le stade soit un vrai stade qui salue la performance de ces équipes féminines », pose Jean-Michel Aulas.
En clair, l’ancien président de l’OL souhaite « battre le record d’affluence pour les matchs de cette compétition, qui doit être autour de 27-28.000 spectateurs ». À ce stade, sur les presque 60.000 places que contient l’enceinte de Décines, « 22.000 » ont déjà été attribuées. « C’est très important que le stade soit le plus rempli possible », insiste Jean-Michel Aulas.
Le deuxième objectif, « c’est évidemment de gagner le droit de jouer une finale continentale », à l’heure où « l’équipe de France a l’ambition de gagner un premier titre continental le plus rapidement possible ».