Félix Dalmás : “Je veux faire avancer le football cambodgien”

Félix Dalmás est l’un des plus jeunes sélectionneurs au monde et le voilà de retour au Cambodge pour poursuivre une mission entamée voilà six ans.

  • À 35 ans, Félix Dalmás est l’un des plus jeunes sélectionneurs de la planète
  • Il revient pour un second mandat à la tête du Cambodge
  • Les qualifications asiatiques pour la Coupe du Monde de la FIFA 26™ débutent le 12 octobre

C’est peu dire que les dernières années écoulées ont été très chargées pour l’Argentin Félix Dalmás. 

En 2020, il lui a d’abord fallu patienter au Japon quand les frontières de son pays natal ont fermé en raison du confinement lié au Covid-19. Quand la situation s’est améliorée, il s’est alors impliqué dans une startup, a voyagé aux États-Unis, a étudié la psychologie et a obtenu un master en management sportif à la Johann Cruyff Institute où il a même donné des conférences. Entre toutes ces activités, il a même trouvé le temps de se marier.

Après avoir été à ce point occupé, il est alors retourné au Cambodge en début d’année pour achever ce qu’il avait commencé avec Keisuke Honda, six ans plus tôt. Après avoir été l’adjoint de la star japonaise de 2017 à 2021 à la tête de la sélectionne nationale cambodgienne, le natif de Buenos Aires a retrouvé le pays d’Asie du Sud-Ouest – sans Honda cette fois – pour terminer ce qu’il avait démarré, comme il l’explique à la FIFA.

“Tout ce temps passé loin du Cambodge m’a permis de réaliser que mon cœur était toujours au Cambodge”, expose-t-il. “Je le fais parce que j’aime ça et que je veux faire avancer le football cambodgien, pas pour être simplement de passage ou pour garnir mon CV, cela n’a jamais été mon objectif.”

Maintenant qu’il a signé un contrat de quatre ans pour entraîner à la fois l’équipe sénior et les U-22, le technicien de 35 ans est tout simplement l’un des plus jeunes sélectionneurs au monde. Il insiste cependant sur le fait qu’il ne considère pas son poste au Cambodge comme un tremplin vers un poste plus prestigieux.

Pour lui, il va surtout s’agir de poursuivre le travail commencé aux côtés de Honda lors de son premier mandat à la tête de l’équipe nationale, une période où la star japonaise jonglait à la fois avec ses responsabilités de sélectionneur mais aussi de joueur professionnel, lui qui jouait toujours, que ce soit en Australie, aux Pays-Bas ou encore au Brésil.

“Tout ce temps passé loin du Cambodge m’a permis de réaliser que mon cœur était toujours au Cambodge”, expose-t-il. “Je le fais parce que j’aime ça et que je veux faire avancer le football cambodgien, pas pour être simplement de passage ou pour garnir mon CV, cela n’a jamais été mon objectif.”

Maintenant qu’il a signé un contrat de quatre ans pour entraîner à la fois l’équipe sénior et les U-22, le technicien de 35 ans est tout simplement l’un des plus jeunes sélectionneurs au monde. Il insiste cependant sur le fait qu’il ne considère pas son poste au Cambodge comme un tremplin vers un poste plus prestigieux.

Pour lui, il va surtout s’agir de poursuivre le travail commencé aux côtés de Honda lors de son premier mandat à la tête de l’équipe nationale, une période où la star japonaise jonglait à la fois avec ses responsabilités de sélectionneur mais aussi de joueur professionnel, lui qui jouait toujours, que ce soit en Australie, aux Pays-Bas ou encore au Brésil.

“Tout ce temps passé loin du Cambodge m’a permis de réaliser que mon cœur était toujours au Cambodge”, expose-t-il. “Je le fais parce que j’aime ça et que je veux faire avancer le football cambodgien, pas pour être simplement de passage ou pour garnir mon CV, cela n’a jamais été mon objectif.”

Maintenant qu’il a signé un contrat de quatre ans pour entraîner à la fois l’équipe sénior et les U-22, le technicien de 35 ans est tout simplement l’un des plus jeunes sélectionneurs au monde. Il insiste cependant sur le fait qu’il ne considère pas son poste au Cambodge comme un tremplin vers un poste plus prestigieux.

Pour lui, il va surtout s’agir de poursuivre le travail commencé aux côtés de Honda lors de son premier mandat à la tête de l’équipe nationale, une période où la star japonaise jonglait à la fois avec ses responsabilités de sélectionneur mais aussi de joueur professionnel, lui qui jouait toujours, que ce soit en Australie, aux Pays-Bas ou encore au Brésil.

“Nous devons continuer à travailler dur pour développer cela et former des générations d’enfants qui grandiront en jouant et en aimant le football.”

Les échéances immédiates dans ce grand chantier enclenché par Dalmás ne sont autres que deux rendez-vous contre le Pakistan, au premier tour des qualifications de l’AFC pour la Coupe du Monde 2026. Ces deux rencontres auront lieu au mois d’octobre.

Le sélectionneur sait mieux que personne que ces rendez-vous sont importance, d’autant plus qu’ils offriront au vainqueur une place pour le deuxième tour qualificatif qui mettra en scène plusieurs équipes phares du continent, notamment les grosses écuries que sont le Japon et l’Arabie saoudite.

“En vérité, chaque match est important et à notre niveau, il n’y a pas de match facile, donc nous devons équilibrer cette réalité avec des attentes réalistes.”

“Nous devons continuer à travailler dur pour développer cela et former des générations d’enfants qui grandiront en jouant et en aimant le football.”

Les échéances immédiates dans ce grand chantier enclenché par Dalmás ne sont autres que deux rendez-vous contre le Pakistan, au premier tour des qualifications de l’AFC pour la Coupe du Monde 2026. Ces deux rencontres auront lieu au mois d’octobre.

Le sélectionneur sait mieux que personne que ces rendez-vous sont importance, d’autant plus qu’ils offriront au vainqueur une place pour le deuxième tour qualificatif qui mettra en scène plusieurs équipes phares du continent, notamment les grosses écuries que sont le Japon et l’Arabie saoudite.

“En vérité, chaque match est important et à notre niveau, il n’y a pas de match facile, donc nous devons équilibrer cette réalité avec des attentes réalistes.”

“Tout ne repose pas seulement sur une personne ou sur un entraîneur, c’est toute une équipe qui travaille ensemble. Moi, je suis simplement l’homme suffisamment chanceux pour occuper la place qui est la mienne.”

“Nous avons entamé tout ce processus parce qu’il y a un vrai potentiel au sein du football cambodgien, et je crois vraiment qu’on peut réussir.”

“Je viens d’un milieu similaire à celui de nombreux enfants au Cambodge, je ne viens pas d’un milieu aisé. Mais je dois tout au football. Je comprends le pouvoir qu’a le football quand il s’agit d’ouvrir des portes, et je sais qu’il peut arriver la même chose aux enfants d’ici.

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